Au départ, il y avait une ruine sans toiture, dotée d’une trop petite ouverture côté jardin (dans laquelle on entrait courbés), et d’une ouverture inutile côté rue (vraiment trop près de la route). Nous avons donc rebouché cette dernière et agrandi la première. Malaxer la terre extraite du champ avec de l’eau, pour obtenir une pâte plus ou moins épaisse est assez physique. On s’en sert de mortier entre des pierres bien choisies qui se calent le mieux possible.
Comme nous avons retiré les poutres qui tenaient un étage à foin très bas, il a fallu reboucher les trous devenus inutiles. Pour le faire, nous avons utilisé des bouteilles de verre colorées. Elles ont été bouchées au niveau du goulot avec du silicone transparent afin d’éviter la condensation à l’intérieur. Ce qui fait une sorte de double vitrage. Des carreaux de verre jointoyés à la chaux hydraulique ont servis à ouvrir un puits de lumière.
Agrandir la porte en retrouvant ou en taillant des pierres d’angle à la meuleuse n’a pas été simple.
Merci á Lotte et Dany, deux woofeurs allemands bien motivés
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Génial. Quelle énergie !!!
Merci Peggy